Qualité et sécurité de la prise en charge

Synthèse complète de l'expérience patient :

Les patients apprécient la compétence et l'écoute des chirurgiens, notamment le Dr Aboufarah, salué pour ses explications claires et son professionnalisme. Les retours soulignent également la gentillesse et la proactivité de certains soignants, comme les standardistes à l'accueil. Cependant, les temps d'attente excessifs (jusqu'à 4h30 sans information) et l'absence de réactivité du personnel (médecins endormis, infirmières indisponibles) sont fréquemment critiqués. De plus, la communication en réanimation est jugée insuffisante, avec des informations floues et un manque d'empathie, notamment pour les familles. L'établissement HOPITAL PRIVE DU VAL D'YERRES affiche une note de 2.2777777777777777/5 basée sur 18 avis, reflétant des expériences contrastées. Les points forts mis en avant par les patients incluent la qualité des soins chirurgicaux, avec des retours élogieux sur la compétence et l'humanité des chirurgiens, comme le Dr Aboufarah, dont la clarté des diagnostics est saluée. Les standardistes sont également reconnues pour leur professionnalisme et leur écoute, offrant un accueil rassurant. Certains patients soulignent la propreté des locaux et la gentillesse du personnel paramédical, notamment en réanimation, où l'attention portée aux patients est appréciée. Enfin, la prise en charge administrative est jugée rapide, malgré des attentes téléphoniques parfois longues. Cependant, certains aspects nécessitent une attention particulière. Les principales difficultés rapportées concernent les délais d'attente excessifs, notamment aux urgences, où des patients ont attendu jusqu'à 4h30 sans soins ni explications. La communication en réanimation est critiquée pour son manque de transparence, avec des familles mal informées sur l'état de leurs proches et des décisions médicales annoncées de manière brutale. Des manquements graves ont été signalés, comme l'absence de surveillance adéquate (ex. : hypoglycémie critique non détectée à temps), entraînant des conséquences dramatiques. Enfin, l'hygiène des salles de bain et l'organisation des soins (douches rares, lavage des cheveux tardif) sont pointés du doigt, ainsi que le manque de réactivité du personnel face aux urgences. Pour améliorer la satisfaction des patients, l'établissement pourrait prioriser la formation à la communication bienveillante, optimiser les processus d'urgence et renforcer les protocoles de surveillance. Une meilleure coordination entre les services et un suivi plus rigoureux des patients, notamment en réanimation, seraient des leviers clés.