Qualité et sécurité de la prise en charge

Synthèse complète de l'expérience patient :

Les patients apprécient la qualité des soins dispensés par l'équipe médicale, notamment lors des accouchements, où le professionnalisme est salué. Les retours soulignent également la disponibilité du personnel soignant, avec des infirmières et sages-femmes décrites comme prévenantes et pédagogues. Cependant, les temps d'attente prolongés en salle d'accouchement ou aux urgences nécessitent une optimisation urgente, avec des cas de douleurs ignorées. De plus, l'organisation des repas (trop tôt) et la communication entre services (manque de coordination) sont régulièrement pointées du doigt. L'établissement **HOPITAL PRIVE CLINIQUE PASTEUR** affiche une note de **2.727272727272727/5** basée sur **11 avis**, reflétant une expérience mitigée pour les patients. Les points forts mis en avant par les patients incluent** : - **La qualité des soins obstétricaux**, notamment lors des accouchements, où plusieurs patients saluent le professionnalisme des sages-femmes et la possibilité pour les pères de rester dormir. - **L'écoute et la pédagogie du personnel soignant**, avec des infirmières et médecins décrits comme attentifs et bienveillants, expliquant clairement les procédures. - **Le confort des chambres**, avec des équipements modernes (Wi-Fi, serviettes quotidiennes) et un accueil parfois chaleureux (mention spéciale pour un agent des urgences). Cependant, certains aspects nécessitent une attention particulière... Les principales difficultés rapportées concernent** : - **Les délais d'attente excessifs**, notamment aux urgences ou en salle d'accouchement, avec des cas graves de douleurs ignorées (ex. : contractions non prises en compte, diagnostic tardif). - **Le manque de coordination entre services**, illustré par des retards dans la prise en charge (ex. : attente de 15 minutes avant une consultation réelle) ou des erreurs médicales (ex. : diagnostic erroné pour un nourrisson). - **L'organisation des repas**, jugée trop précoce (déjeuner et dîner servis trop tôt), et la rigidité des horaires (plateaux retirés sans flexibilité). - **Le manque d'empathie de certains soignants**, avec des comportements décrits comme brutaux (ex. : refus de fournir un compte-rendu médical) ou discriminatoires (remarques sur l'origine des patients). Perspective d'amélioration** : L'établissement pourrait prioriser la formation à l'accueil et à la communication, optimiser les flux aux urgences, et revoir les horaires des repas. Une meilleure coordination entre services (ex. : transmission des dossiers) et un suivi plus rigoureux des cas critiques (ex. : symptômes néonatals) seraient également bénéfiques.