Qualité et sécurité de la prise en charge

Synthèse complète de l'expérience patient :

- Les patients apprécient la qualité des soins dispensés par les équipes de chirurgie et de maternité, notamment pour leur professionnalisme et leur bienveillance. - Les retours soulignent l'excellence des sages-femmes, décrites comme douces, attentives et drôles, ainsi que la compétence des chirurgiens comme le Dr Besnoit. - Cependant, l'accueil et l'organisation des temps d'attente sont critiqués, avec des patients se sentant traités "comme des bestiaux" dans des boxes sans intimité. - De plus, la qualité des repas est jugée déplorable, avec des plats décrits comme immangeables (soupe "poussiéreuse", poisson pané en bouillie). L'établissement HOPITAL PRIVE SAINT GREGOIRE affiche une note de 2.0277777777777777/5 basée sur 36 avis, reflétant des expériences contrastées. Les points forts mis en avant par les patients incluent d'abord l'excellence des équipes médicales, notamment en chirurgie et en maternité. Les sages-femmes sont particulièrement saluées pour leur humanité et leur humour, tandis que des chirurgiens comme le Dr Besnoit ou le Dr Collin sont reconnus pour leur compétence. Les patients soulignent aussi la qualité des soins post-opératoires, avec des équipes de réveil décrites comme jeunes et motivées. Enfin, la rachianesthésie est appréciée pour son efficacité, bien que des améliorations (comme un casque audio) soient suggérées. Cependant, certains aspects nécessitent une attention particulière. L'accueil et l'organisation des flux patients sont pointés du doigt : des retards non justifiés, un manque d'empathie de certains personnels (comme une infirmière en salle de réveil qualifiée de "robot"), et des conditions d'attente dégradantes (boxes sans intimité, exposition des patients en tenue d'opération). De plus, la qualité des repas est unanimement critiquée, avec des plats décrits comme immangeables (soupe "poussiéreuse", poisson pané en bouillie), entraînant même des pertes de poids involontaires. Enfin, des dysfonctionnements administratifs sont signalés, comme le refus de fournir une ordonnance pour des soins post-consultation. Pour progresser, l'établissement pourrait prioriser l'amélioration de l'accueil et de la communication, ainsi que la qualité des repas. Une meilleure gestion des temps d'attente et une formation à l'empathie pour certains personnels seraient des leviers concrets.